En 120 poèmes de 68 poètes, « nos frères, les oiseaux » sont classés par genre : des mésanges aux oies sauvages, à chacun une double page illustrée. Une place aussi pour leurs nids, leur envol, ou pour évoquer la cage et la mort. Cette ode à la beauté, à la fragilité et à la liberté incitera peut-être les enfants à prendre à leur tour leur plume... Judith Gueyfier, d’un trait minutieux et léger, dessine une jolie volière. Mêlant une justesse d’ornithologiste aux esquisses, les couleurs vives aux croquis inachevés, elle a su créer avec les poèmes une belle harmonie.